Il est aussi destructeur que la clope que je fume à l'instant
Tout comme elle il me consume de l'intérieurOui ce feu m'habite !
A chaque pulsation, à chaque pensée!
Si fumer tue, alors ces pareil pour l'amour
Dans ce cas pourquoi fumer?
Dans ce cas pourquoi aimer?
Je ne sais pas!
Peut être pasque tu es ma drogue, celle que je traque
Car elle met vitale,et que j'achèterai a n'importe quelle prix
Pour combler ce manque dont je suis dépendante
Mais contrairement au tabac, ou à n'importe quelle drogue
tu n'as pas de prix
juste une odeur, une saveur, un goût que je recherche sans fin...
Oui ce parfum qui hante chacune de mes pensées
Et je ne peux me sevrer de lui, de cet amour
Car à chaque pulsation,lorsque mon coeur bat et envoi le sang qui est necessaire a ma vie
C'est mon amour qu'il propage dans tout mon être
Et je te l'affirme
Si il s'arrête , tout comme cette clope qui à fini de se consumer je m'éteindrai à jamais.
L'ironie du sort c'est que lorsque l'on se lie avec un l'un ou l'autre, on connaît les ravages, on les sens,on les apercois, mais il est rare que l'on brise le pacte conclut avec sois même!
A croire que l'homme aime souffrir
La différence entre toi et ma cigarette c'est que:
elle je l'ai aprécié et toi je t'aime
Heylena
Tout comme elle il me consume de l'intérieurOui ce feu m'habite !
A chaque pulsation, à chaque pensée!
Si fumer tue, alors ces pareil pour l'amour
Dans ce cas pourquoi fumer?
Dans ce cas pourquoi aimer?
Je ne sais pas!
Peut être pasque tu es ma drogue, celle que je traque
Car elle met vitale,et que j'achèterai a n'importe quelle prix
Pour combler ce manque dont je suis dépendante
Mais contrairement au tabac, ou à n'importe quelle drogue
tu n'as pas de prix
juste une odeur, une saveur, un goût que je recherche sans fin...
Oui ce parfum qui hante chacune de mes pensées
Et je ne peux me sevrer de lui, de cet amour
Car à chaque pulsation,lorsque mon coeur bat et envoi le sang qui est necessaire a ma vie
C'est mon amour qu'il propage dans tout mon être
Et je te l'affirme
Si il s'arrête , tout comme cette clope qui à fini de se consumer je m'éteindrai à jamais.
L'ironie du sort c'est que lorsque l'on se lie avec un l'un ou l'autre, on connaît les ravages, on les sens,on les apercois, mais il est rare que l'on brise le pacte conclut avec sois même!
A croire que l'homme aime souffrir
La différence entre toi et ma cigarette c'est que:
elle je l'ai aprécié et toi je t'aime
Heylena